"Donne ta langue que j'y goûte, sacrebleu !"
Gémissements et caresses, le jour et la nuit et mon cul à l'air dans les courants d'air du château. Voilà à quoi j'en étais réduite depuis que mon salaud de mari m'avait larguée en partant avec la femme de chambre. D'un autre côté, je découvrais que j'étais bien moins frigide que ce qu'il prétendait.
Dans le couloir au fond
20 octobre 2014
Voilà un mot que j’utilise peu dans l’émoi : “sacrebleu”…
Bleu bite ?
Pourtant non… Mais j’en use peu, hormis dans la première version d'”Enfin le soleil” qui m’en fit pousser un énorme !
Elle revient bientôt la première version…