Tous les vendredi, c’était la même rengaine. Il fallait sortir Mathilde dans le jardin, le seul endroit où l’on trouvait assez de place pour déployer le grand fouet, et lui cingler les fesses jusqu’à ce qu’elle crie pitié. Cette demoiselle mouillait tellement du fait de l’exercice que l’on entendait des bruits liquides quand elle rejoignait sa chambre.
Le fouet à l’air libre
2 février 2018