Malgré ses longues promenades dans la campagne, jamais Roland n'avait entendu un tel brâme. Il imaginait une bête terrible qui le mettrait en lambeaux s'il la croisait par malheur. Ce qui était bien le cas... Excitée comme l'était Ghislaine, elle lui aurait fait l'amour pendant des heures.
L’appel d’une bête inconnue de Roland
24 novembre 2012
Ah pardon, autant le Roland n’y entend rien en matière de cervidés, autant c’est pas des vilaines Ghislaine qui vont l’impressionner, il en a vu d’autres et des plus affamées, d’ailleurs le Roland c’est le maq d’Anne.
Il faut une certaine culture pour celle-là…
Une culture en forme de bouillon, avec parfois de grosses bulles qui remontent, exhalant du Céline comme du Jacques Baudouin. Tout n’est pas très fin mais participe à former un goût pour les choses éclectiques comme les filles à quéquette.
C’est vrai que l’on peut difficilement faire plus éclectique…
vive les rondeurs… et la nature… :-)))
Et les rondeurs de la Nature.