La queue de M. Bergeac était aussi douce que les soies d'Inde qu'il vendait. Restait à savoir si la durée de la caresse avait une influence sur la hauteur de la remise qu'il consentait.
Le voilier des Muses
19 mars 2011
La queue de M. Bergeac était aussi douce que les soies d'Inde qu'il vendait. Restait à savoir si la durée de la caresse avait une influence sur la hauteur de la remise qu'il consentait.
Je poste un petit commentaire surtout pour vérifier si mon pseudo n’est plus tronqué, et aussi pour dire que cette image me fait un peu (juste un peu) penser à celle que j’avais repérée il y a quelque temps et dont je viens de faire un billet.
Ah ben là ça marche. Super :-) Mais il faut remplir le champ “site” de votre profil s’il l’on veut y jeter un oeil :-)
Comment avais-je pu oublier un détail aussi important ! Merci pour le rappel, Camille.
Voilà, c’est mieux :-)