À califourchon, prête à l'amour
Sonya aimait ce moment de révélation inattendue où son amour s'offrait nu, prêt à être dévoré, caressé et aimé pour un long après midi de stupre. Et tant pis pour les livres et les rendez-vous paroissiaux, tant pis pour la modiste, la chorale, sa belle mère et ses tantes. Elle avait bien le droit que l’on s’occupe d’elle et de son minou.