Sucer de la queue d’homme du peuple avait toujours le goût de l’interdit, de la transgression voire du péché. Un peu comme lécher le cul d’un curé de campagne.
Camille MM
Maria ne trouvait plus d’excuses
Elle ne pouvait plus se mentir à elle-même. Si elle était venue jusqu’ici, si elle avait accepté de se déshabiller puis de se faire attacher, c’est qu’elle espérait secrètement ce qui allait lui arriver.
Une récompense méritée
Lorsque l’on est si sage, il est naturel de recevoir quelque récompense. Sucer, ce n’est quand même pas donné à tout le monde.
Coup de foudre
Nous avons au moins une chose en commun. Quelque chose qui se tend dans les situations explicites, si vous voyez ce que je veux dire.
« Ça change du bureau, pas vrai, Robert ? »
Ne vous énervez pas, je le contente pour l’instant de caresser votre doux pénis soigneusement enveloppé d’une culotte satin noire. Il n’y a pas de raison de paniquer, n’est-ce pas ?
Montée au ciel
Dans les internats catholiques, difficile de cacher un godemiché proprement. Les bonnes soeurs semblaient avoir un sixième sens pour les retrouver. Et les filles avaient l’impression de rester près du Christ de cette manière.
Champagne !
Une coupe n’a jamais fait de mal à personne. Ça monte vite à la tête et ça rend toute gaie…
La femme à barbe
Malgré trois ans dans son école de coiffure, Marie-Paule n’aimait que le poil. Le poil long et fourni.
Rita aurait voulu être ailleurs
Et avec quelqu’un d’autre. Quelqu’un qui serait douce avec elle et qui lui ferait l’amour en souriant.