Tous les ans, il fallait trouver de nouvelles servantes. M. de Cleyssac les choisissait lui-même et les formait à son goût. Elles étaient renommées dans toute la province et, rapidement, on leur faisait des propositions qu’elles ne pouvaient pas refuser. Car si M. de Cleyssac était un bon professeur, c’était aussi un homme près de ses sous.
Bref, tous les ans, les plus jolies filles du peuple faisaient la queue devant la vaste demeure de la rue des Trois Pics pour tenter leur chance.
Les servantes nues de M. de Cleyssac
5 avril 2017
I admire a man who loves beauty.
Il ne se contente pas d’admirer mais en fait profiter les autres.
Mais oui!