Murielle se laissait toucher les seins sans rien dire. Elle restait là, un quart d’heure, les yeux ailleurs et repartait vaquer à ses affaires. Et puis elle revenait deux heures après, pour un prétexte futile, se penchait sur la table et offrait de nouveau la blancheur de ses seins au regard et aux mains de sa collègue.
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Touchez là
3 réponses à “Touchez là”
Il faut dire que si Muriel se laissait toucher les seins, c’est qu’ils font envie et qu’il était difficile de résister à y mettre la main…
C’est vrai que des seins qui ne feraient pas envie n’auraient pas le même succès…
Je suis d’accord avec Kapa, un décolleté pareil…
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