Publiée aux éditions Drugstore en 2012, Mahârâja raconte le passage dans un hôtel au bord du lac de Côme d’un maharaja accompagné de son harem que les services secrets britanniques cherchent à éliminer. La directrice de l’hôtel est très chaude et une des soubrettes très ingénue.
Artoupan et Labrémure s’amusent avec des personnages assez manga (un tueur très chaste et un peu idiot, une jeune fille rougissante…) et l’histoire est un prétexte à dessiner une époque, des vêtements et un décor à la ligne claire réaliste très riche en détails. C’est un peu idiot et assez amusant si on goûte ce genre d’humour.
Les deux compères ont réalisé un autre album Nuits Indiennes paru aux éditions Clair de Lune.
Artoupan présente son travail sur son site : http://artoupan.fr/.