Un pistil turgescent au milieu de pétales de soie
Célimène adorait les robes à la mode et les faisaient venir de Paris mais il fallait toujours les retoucher pour qu'elle puisse découvrir ses bas et sa jolie queue érectile. Cela faisait la joie des Groumont-Geignard qui n'auraient jamais laissé repartir une jeune fille aussi bien pourvue et faisaient des efforts considérables pour la contenter. Il faut dire que nombre de leurs amis guignaient sans vergogne la belle Célimène, avides d’expériences cochonnes nouvelles.