Il n’y a rien de mieux que la révolution sexuelle
Chaque année, au mois de juin, un certain Bo, se remémorait avec confusion, excitation et désespoir des belles soirées étudiantes sur la place Tian’Anmen. Il avait rencontré les plus jolies étudiantes du monde et leur désir de communiquer leur ferveur démocratique les avait emmené à forniquer joyeusement dans la nuit chaude du printemps. Lorsque les chars se mirent en mouvement, Bo se fit porter pâle.