Laure prenait un plaisir fou à étudier le visage de son amante dans ces moments là. Souffrance, plaisir, surprise et jouissance passaient comme des vagues. Son corps ligoté paraissait immobile mais en le regardant de près, il était comme une mer parcourue de frémissements intérieurs, de courants invisibles mais dont on devinait la puissance.
Allez ma chérie, un peu de courage
9 juin 2014