La tradition n'avait du bon que si elle était détournée si l'on en croyait Aisha qui cherchait les tissus les plus collants et les coupes les plus proches du corps. Il fallait que l'on puisse voir le creux de son nombril et la pointe de ses tétons même s'ils n'étaient pas durs. Évidemment, comme elle était la plupart du temps en état d'excitation sexuelle, les couturiers n'avaient pas de problème de ce côté.
Collection d’hiver
9 novembre 2007