La situation des deux cousines était devenue compliquée. Monsieur Polidori ne se contrôlait plus et prenait les filles à tout moment et avec une telle fréquence que sa sœur Edna ne trouvait plus le temps de les corriger pour ce qu’elle appelait « leur comportement dévergondée » au point que pénétration et cinglage finissait par être simultané, ce qui permettait un gain de temps non négligeable.
Le couloir des sévices
26 juillet 2017