L'amour des livres n'empêche pas les strings
Je ne l'ai pas fait, j'ai glissé, j'ai voulu me rattraper et c'est votre pantalon qui m'est tombé sous la main. Je le jure, cela n'a rien à voir avec le fait que je rêve de voir votre beau cul et quel type de petite culotte vous portez ! Je ne le referai plus... Sauf si vous me le proposez.
Sublime ! Etudiant à l’université, j’avais le même fantasme. Je n’ai jamais osé aborder notre documentaliste bien conservée afin de savoir si elle était plutôt du genre mère de famille rangée ou femme épanouie discrète investissant dans le string Aubade provocateur. A en croire deux ou trois de mes copains de l’époque, bien plus aptes à faire tomber les femmes mûres en pâmoison que moi, c’était plutôt la deuxième option, et pourtant, notre belle dame était mariée et bien mariée ! Mais, semble-t-il, elle considérait son opulent fessier comme un bien commun dont elle ne pouvait décemment priver les jeunes mâles bien montés. On ne peut que saluer l’altruisme de cette remarquable épouse.
Quelle tristesse de ne pas avoir pu en profiter. Merci beaucoup pour ce premier commentaire.
C’est un endroit où on se prend souvent la tête.