Julie avait beau aimer de tout son cœur son Martin (et chaque matin elle le regardait partir au travail avec un pincement au ventre), ses besoins sexuels nécessitait une mâle présence toute la journée et M.Dumont, le voisin retraité était toujours disponible. Du moins en première partie de journée. Après, il fallait encore s'organiser.
Le gentil mari et le bel amant
1 août 2014
Oh… Le regard du mari… La chemise de nuit vaporeuse… Les petites mûles roses… La main évoquant les coquineries à venir…
Splendide :-)