Login/Se connecter |
Join Now / Devenez membre

Les proies qui bandent

Dans la pension familiale de Mademoiselle Martha, les hommes n’étaient autorisés qu’à la condition d’avoir les yeux bandés en plus d’être bien costauds. En fait, la seule règle qui comptât réellement concernait la taille de leur chibre qui devait impressionner ces demoiselles qui en avaient pourtant connues d’autres.

Voir aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Back to Top